Et quand l'un d'entre nous meurtQu'on nous met en demeureDe débarrasser l'hôtelDe ses restes mortelsQuelle est celle qui r'mue tout ParisPour qu'on lui fasse, au plus bas prixDes funérailles gigantesquesPas nationales, non, mais presque?
{Au refrain}
Et quand vient le mois de maiLe joli temps d'aimerQue sans écho, dans les cours,Nous hurlons à l'amourQuelle est celle qui nous plaint beaucoupQuelle est celle qui nous saute au couQui nous dispense sa tendresseToutes ses économies d'caresses?
{Au refrain}
Ne jetons pas les morceauxDe nos cœurs aux pourceauxPerdons pas notre latinAu profit des pantinsChantons pas la langue des dieuxPour les balourds, les fesse-MathieuLes paltoquets, ni les bobèchesLes foutriquets, ni les pimbêches,Ni pour la femme de BertrandPour la femme de GontrandPour la femme de PamphileNi pour la femme de FirminPour la femme de GermainPour celle de BenjaminNi pour la femme d'HonoréLa femme de DésiréLa femme de ThéophileEncore moins pour la femme de NestorMais pour la femme d'Hector.