Читаем Если душа родилась крылатой полностью

Murs de la routine — compteґsAvant moi. Trou? Hasard? — Trois mursDans mon souvenir — attesteґs!Du quatrie`me — pas tre`s sure.De dos au mur: c’eґtait le cas?Peut-etre, mais peut bien ne pasEtre. N’eґtait pas. Le vent. Dos —Mais pas de mur derrie`re, n’est-cePas? Tout ce qu’on veut… pas. De Dno:«Le tsar abdique» . Voie express:Pas que la poste! Urgent parcoursDes fils, — de partout, de toujours.On a fait du piano? En bloc —L’air. Vent. Voile gonfleґe. Doigts enCoton. La sonatine flotte.(N’oublie pas que tu as neuf ans).De ce mur jamais vu plus tot —Je sais le nom: le mur du dosAu piano. Ou — au bureau, ouEncore derrie`re une trousseA raser (il a pour atout— Ce mur-la` —: qu’en couloir il pousseDans la glace. De ґplace — avise!Chaise portative du vide).Chaise a` ceux — qu’entrer: interditPar la porte! Aux semelles — seuilSensible! Toi, tu as grandiDe ce mur (passeґ: bref recueil).Un chapitre entre nous s’entasse.Tu grandiras comme DanzasEn arrie`re.Celle qui deґcre`te,Tel Danzas, l’eґlu, lourd des pie`ces,(Je sais son nom: le mur des cretes!)Entre — non du pas de Dante`s.La nuque. — Pour la catastrophe,Pret? Tout comme toi dans dix strophes,Stop.L’il vise l’arrie`re-front.Mais, laissant le tir postdorsal,A l’eґvidence le plafondEtait. Comme au salon: normal!Peut-etre penchait-il, au fond?(Armes visant l’arrie`re-front —Qui fond.)Et le cerveau deґja` —Pressionneґ. Le dos se leґzarde.Voila` les murs de la Tcheґka,Des aubades et fusilladesLimpides: plus net que l’eґchoDes gestes — de dos dans le dos!La fusillade me confond.Mais, laissant le tir postmural,A l’eґvidence le plafondTenait (utile en quoi, plus tard,— Lui?!) Revenons au quatrie`meMur: ou` reculant, le couard, bleme —Recule.«Bon, et un plancher —Y avait? Quelque chose ou` asseoir…»Mais oui!. — Pas pour tous. — ChevaucheґeD’arbres, de cables, balancoires,Sabbats… La`-haut!Tous nous devonsSouder notre pesant talonAu vide.Plancher — pour les pieds.Quel implanteґ, incrusteґ — l’homme!Plafond: les gouttes eґpargneґes.Une par heure, tu sais commeL’ancien supplice? Plancher: qu’herbeNi terre en la maison peґne`trent —Ni ces etres non empecheґsPar les pieux dans la nuit de mai!Trois murs, un plafond, un plancher.C’est tout, non? De`s lors: apparais!Signe du volet, de la vitre?Chambre eґtablie a` la va-vite,Juste eґbaucheґe sur un brouillon:Sur fond gris — blanchatre crayon.Ni couvreur, ni poseur de platre —Le reve. Au long de voies sans cables —Vigile. Dessous les paupie`res —Gouffre ou` un et une se lie`rent.Nul tapis, nul meuble en reґserve —Le reve, plus nu que la gre`veBaltique. Plancher aux tons fades.Chambre? — Simples surfaces planes.Deґbarcade`re: plus riant!Ca tient de la geґomeґtrie,— L’abme en tome cartonneґ,Tard compris, mais non cantonneґ.Et le char d’Apollon, son frein —C’est la table? Car elle a faimDe coude! Coudes a` l’oblique,Tu obtiens la table tablique.«Cigogne», et l’enfant nat — voila`:Si besoin est — apparatraLa chose. La chaise surgitAvec l’hote — point de soucis!Tout surgira,Ni plans, ni veilles —Vois-tu? Te direSous quelle enseigne?L’Etre mutuel.En foret — trouPerdu. L’HotelDu Rendez-vousDes Ames.Maison de rencontre. Autres —Celles des seґpareґs,Meme au Sud! Des mains d’hote?Non, c’est du plus feutreґQue les mains, plus fin, — purQue les mains. Bric-a`-bracRetapeґ — confort sur!L’ennui-monstre la`-bas!Ici: saintes-nitouchesQue nous! En fait de mains:Courriers, penseґes, retouches,— De mains: ultimes fins…Sans fieґvreux «ou` es-tu»?J’attends. ProprieґteґDes serveurs: gestes tusAu palais de Psycheґ.Le vent seul est cher au poe`te.Jurer des couloirs: je suis prete.La marche: base des armeґes.Longtemps marcher, afin qu’apre`sD’un jet dans la chambre — et l’airDu Dieu-Lyre…Chemin du vers!Le vent, le vent leveґ: l’avanceDe nos pas, le front sous sa lance!«Et caetera» trouve sa place —Couloirs: le chez-soi de l’espace.Du freux le profil d’heґreґtique —Espace a` vitesse archaїqueD’enfant marchant dans ses effetsDe pluie — charmants sons: fusain (l’f)! —Fer a` friser — faisan: il faitSa trane a` la tour dite Eiffel.Le fleuve a` l’enfant est caillou,L’espace — quartier, place, trou.Meґmoire ou` la guitare donne:Espace: bagage a` main, bonne…(Espace — la mode) — l’idiot:On sait bien ce que les chariots…Conduit au plumier de tantot.Couloirs: des maisons — les canaux.Noces, destins, deґce`s, saisons, —Couloirs: affluents des maisons.Le couloir de`s l’aube s’anime— Pas que des balais: d’anonymesBillets. Herbe et cumin empestent.Genre de tache: cou-loiresque.Exigeant qu’on deґblaie le solDes couloirs de la Carmagnole!Qui batit les couloirs,(Creusa), — sut ou` courber,— Que le sang puisse avoirLe temps de contournerL’angle du cur — l’aigu,Cet angle: aimant des foudres!Que l’le du cur nueSoit laveґe tout autour.Ce couloir-ci, c’est moiQui l’ai creґeґ. — Ainsi! —— Le cerveau puisse avoirLe temps de faire signeSur la ligne: «PersonneNe monte» — au nud crucialDu cur «Sauter, en somme —Vas-y! Sinon deґtaleDes rails!» C’est mon couloir:Non poe`te: d’embleґe…— Le cerveau puisse avoirLe temps de distribuerLes places: c’est un lieuQue se voir, — plan, deґcompteDe mots — pas tous heureux,De gestes, — purs meґcomptes.Soit tout l’amour en ordre,Toute a` toi che`re au fond,— Jusqu’au pli de la robeOu des le`vres? — Du front!Savaient rajuster leur robe: elles!Couloirs: des maisons — les tunnels.Vieillard que l’on me`ne a` tatons.Couloirs: deґfileґs des maisons.Ami, vois! En lettre ou en reve,C’est moi sur toi l’eґclair qui cre`ve!Tu t’endors; paupie`re: descends!C’est moi sur toi, — pressentimentDe lumie`re. Quand poindra l’heureExtreme: c’est moi l’il-lueur.Et apre`s?Reve: ligneJuste. Acce`s,Puis s’inclinentFront et front.Le tien touchePresque. Affront —Rime: bouche.Du fait que les murs se deґfont? —A l’eґvidence le plafondFlanchait. Vocatif: seul archet!A l’eґvidence le plancher…La bre`che! Et le Nil vert au fond!A l’eґvidence le plafondNageait. Le plancher, qu’est-ce hormis«Qu’il croule!» Des lames salies:Rions! Mal balayeґ? — Au ciel!Le poe`te entier tient en selleSur le tiret…Au dessus du rien de deux corpsLe plafond d’eґvidence alorsChantaita` l’unisson des anges.
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