Un jour que j'avais du chagrin,Tu l'as fait voler en éclats.Prenant mes larmes dans tes mains,T'as dit: "T'es trop belle pour ces bijoux-là!"Pour toi, j'ai appris à sourireEt, dès ce jour là, j'ai comprisQu'on puisse avoir peur de mourirQuand on connait déjà le paradis…Il fait si bon t'aimer.T'as l'air d'être fait pour ça,Pour être blotti, les yeux fermés,La tête au creux de mes bras.Ta lèvre appelle si fort mes baisers.Je n'ai pas besoin d' me forcer.J' n'ai qu'à m' laisser bercerEt tout devient léger.Il fait si bon t'aimer.Auprès de toi je n'ai plus peur.Je me sens trop bien, à l'abri.T'as fermé la porte au malheur.Il n'entrera plus, t'es plus fort que luiEt quand, par les rues, je m'en vais,Je porte ma voix dans les yeux,Comme si tes baisers me suivaientEt que les gens se retournaient sur eux.Il fait si bon t'aimer.T'as l'air d'être fait pour ça,Pour être blotti, les yeux fermés,La tête au creux de mes bras.Ta lèvre appelle si fort mes baisers.Je n'ai pas besoin d' me forcer.J' n'ai qu'à m' laisser bercerEt tout devient léger.Il fait si bon t'aimer.
Il fait des…
Paroles: Edith Piaf. Musique: Edward Chekler 1946
autres interprètes: Yves Montand (1953)
Habits sans styleVisage hostileToujours ailleursLes yeux rêveurs,La voix austèreNe parlant guère,Les gens disaientIl n'est pas gai…Oui, mais… mais… mais…mais…Dès qu'il entend la musiqueOn dirait un hystériqueIl fait des… la la la laLa la la la, la la la laLa la la la, la la la laEt puis des… oh!La la la la la la la laLa la la la souvent des… oh!Willy, Willy, Willy, Willy,Willy, Willy, Willy, Willy,Willy, Willy, Willy, Willy,Wi…Rarement des…Plaisir d'amour ne dure qu'un momentNon, lui, c' qu'il lui faut, c'est des…Hé dy, hé dy, hé dy, hé dé dy, ohIntellectuel,Industriel,Il est tout çaMais ne l' dit pas,Les mots d'amourEt les toujoursÇa, ça l'endortAutre chose encore!Dès qu'on lui joue du classiqueIl devient mélancoliqueIl fait des… oh!Et puis des… beh!Souvent des… oui… oui… oui…Rarement des… ah! ah! ah!Non, lui, c' qu'il lui faut, c'est des…Hé dy, hé dy, hé dy, hé dé dy, oh