Читаем Полное собрание сочинений. Том 24 полностью

Celui qui parle de son chef dit ce que lui para^it juste, `a lui seul; mais celui qui dit ce qui est la volont'e du P`ere de tous les hommes parle de ce que connaissent tous les hommes. J. [VII,] 18.

Mo"ise v[ou]s a donn'e une loi qu’il est impossible de suivre et v[ou]s ne [le] suivez pas et moi je v[ou]s donne une loi qui est 'ecrite dans vos consciences et v[ou]s voulez me faire mourir. J. VII, 19.>

Le peuple lui dit: alors tu es poss'ed'e du d'emon. J. VII, 20.

Et J'esus dit: Il est 'ecrit dans votre loi que le t'emoignage de deux hommes est digne de foi. Eh bien, c’est moi qui rend t'emoignage de moi et le P`ere qui a donn'e la vie `a tous les hommes me rend t'emoignage dans la conscience de tous les hommes. J. VIII, 17, 18.

Alors ils lui dirent: «Toi, qui es-tu?» Et J['esus] dit: je suis ce que je vous dis, ce que je v[ou]s enseigne. — [J. VIII, 25,] 26.

Lorsque v[ou]s aurez 'elev'e la conscience de l’homme vous conna^itrez ce que je suis vous saurez que je ne fais et ne dis que ce qui est la volont'e du P`ere. [J. VIII,] 28.

Je ne suis pas seul puisque je fais la volont'e du P`ere de tous. 29.

Si vous accomplissez ma doctrine, vous serez avec moi [J. VIII,] 31) et v[ou]s conna^itrez la v'erit'e. Et la v'erit'e v[ou]s rendra libres. Vous ne l’^etes pas, car v[ou]s ^etes esclaves du mensonge, ce n’est que la conscience de sa d'ependance du P`ere qui peut vous affranchir. [J. VIII, 32—34.]

Et les juifs dirent: «N’avons nous pas raison de dire que c’est un Samaritain et qu’il est poss'ed'e du d'emon?» J. VIII, 48.

Et J['esus] dit: Je ne suis pas poss'ed'e du d'emon et je ne veux faire de mal et tuer personne, mai[s] vous vous appelez enfants d’Abraham et ^etes . Vous voulez me faire mourir, moi qui ne v[ou]s ai dit que la v'erit'e. J. VIII, 39, 40, 49.

Vous le faites parce que v[ou]s ne connaissez [pas] le P`ere v'eritable de tous les homme[s], vous servez votre p`ere `a vous, qui est le mensonge — le d'emon. [J. VIII, 44.]

Alors J['esus] dit: Le mensonge ne donne pas la vie, il n’est que la v'erit'e qui la donne. Je v[ou]s le dis: celui qui croit `a ma doctrine, `a l’esprit du P`ere qu’il poss`ede en lui, aura la vie v'eritable. J. V, 24.

Et le tem[p]s est venu pour ceux qui ne connaissai[en]t pas le vrai et 'etaient comme des morts; [ils] entendront la voix du fils de Dieu qui est l’esprit de Dieu et que, l’ayant entendue, ils vivront de la vie v'eritable. [J. V,] 25.

Sondez les 'ecritures, qui v[ou]s parle[nt] de la vie, elles ne disent que cela. [J. V,] 39. Vous ne me croyez pas parce que vous croyez `a la tradition, `a ce que vous vous dites entre vous et vous ne cherchez pas `a entendre ce que v[ou]s dit `a tous votre P`ere — l’Esprit [J. V,] 44. Mais le P`ere ne cesse jamais de parler `a vos consciences. [J.] V, 17. En v'erit'e je v[ou]s dis que le fils — l’esprit de Dieu dans l’homme — ne peut rien faire de lui-m^eme et peut tout lorsqu’il fait ce que veut son P`ere. [J. V,] 19, 20.

Le P`ere ne condamne pas les hommes `a la mort mais il leur donne la possibilit'e d’'eviter la mort et d’avoir la vie [J. V, 21,] 22.

Car comme le P`ere a la vie en lui-m^eme, il a donn'e aussi au fils, `a l’esprit de l’homme, la vie en lui-m^eme. [J. V,] 26.

Et il lui a donn'e la facult'e de choisir entre la vie et la mort et de ressu[s]citer des morts. [J. V,] 27, 28.

L’homme qui cherche sa vie dans les choses du dehors et mat'erielles est un homme qui n’a pas la vie. Le m^eme homme, d`es qu’il conna^it la source de la vie qui est l’esprit de son P`ere qu’il a en lui, revient `a la vie et ressu[s]cite des morts. Celui qui veut conserver sa vie la perd. Matt. XVI, 25.

Et en parlant ainsi [2 неразобр.] J['esus] s’approcha de la porte des br'ebis o`u il y avait un r'eservoir d’eau miraculeuse. Les gens s’imaginaient que lorsque l’eau se mettait en mouvement c’'etait un ange qui descendait du ciel et que celui qui se baignerait le premier apr`es le mouvement de l’eau serait gu'eri de tous ses maux. Et J['esus] apercut un homme qui 'etait couch'e pr`es du r'eservoir et qui y venait depuis 38 ans et ne pouvait attraper le moment propice pour descendre dans le r'eservoir. Alors J['esus] le montra aux Juifs et leur dit: Voil`a l’exemple d’un mort qui est dans la vie et qui peut ressu[s]citer par l’esprit. Voyez, cet homme a la force de venir ici depuis 38 ans, il a la force de descendre vers le r'eservoir, mais il est comme un mort: il n’ a pas la vie m^eme dans le sens ordinaire. Il perd sa vie parce qu’il est dans le mensonge et attend son salut du dehors et ne conna^it pas la v'erit'e de la force de l’esprit qui est en lui. S’il en a conscience il sera ressu[s]cit'e et il vivra. Et alors J['esus] dit au malade: Ne crois pas au[x] miracles de la gu'erison qui te viendra du dehors. Ne te tromp[e] plus, l`eve-toi et emploie les forces que tu as `a vivre mais pas `a conserver ta vie. Et le malade crut `a J['esus], se leva et se sentit revivre. C’est ainsi que doivent ressusciter tous ceux qui croient que la vie d'epend des choses du dehors et ne connaissent la v'eritable source de la vie qui est l’esprit de l’homme et soumis `a la volont'e du P`ere. [J. V, 2—14.]

Et J['esus] dit: La mani`ere dont les hommes disposent de la facult'e de vivre qui leur est accord'e[e] par leur P`ere e[s]t pareille `a ceci:

Un propri'etaire donne `a ses serviteurs une partie de son tr'esor avec la condition que chacun d’eux travaille pour augmenter le tr'esor. Le propri'etaire ne dirige pas ses serviteurs, mais les laisse faire chacun comme il l’entend. Les uns ob'eissent au ma^itre et tra[vaillent] et augmentent le tr'esor, les autres l’enfouissent en terre sous pr'etexte de ne pas vouloir le perdre. Le Ma^itre fait rendre compte aux serviteurs de ce qu’ils ont fait et il dit `a ceux qui ont augment'e le tr'esor: Tu as fait ce que je voulais, participe `a tout ce que je poss`ede; mais `a celui qui a enfoui le tr'esor et ne l’a point augment'e, il dit: «Tu n[e] l’appr'eciais pas, rends le donc `a celui qui l’ap[p]r'ecie et disparais. Je n’ai pas besoin de toi. Le tr'esor pr'ecieux du ma^itre c’est le tr'esor de la vie — l’espr[it] 'emanant du P`ere. Quiconque rem[p]lit la volont'e du P`ere se r'eunit au P`ere de la vie, celui qui remplit sa volont'e personnelle, contraire `a la volont'e de Dieu, e[s]t d'epouill'e m^eme de la part de l’esprit qu’il poss'edait. Luc. XIX, 11—27.

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