Mais mettre une armure de poitrine a semblé mission presque impossible - car même le vin, surtout rouge, pouvait de temps en temps de manière inattendue faire paraître quelqu'un comme gros, impitoyablement et franchement malhonnêtement, - cependant, après juste vingt minutes supplémentaires de fléaux et de rampement il a également réussi à exécuter cette tâche particulière. Le problème en forme de deux bottes d'acier est venu subitement de nulle part. Ayant essayé toutes les combinaisons imaginables (la vraisemblablement bonne botte - sur un pied gauche, une botte évidemment enlevée - sur un vraisemblablement bon pied, etc.) il a été forcé enfin à laisser tomber ce travail sacrément inutile, en ayant de propres pieds condamnés à voyager en un nouveau, quelque peu petits tiroirs de graisse. Les derniers au menu d'aujourd'hui (après un vin bourguignon rouge, c'est tout) étaient des gantelets de plaque et une épée fidèle, qui s'est déjà un petit peu émoussée après son dernier tournoi d'il y a cinq ans. Finalement, après presque une demi-heure à partir du début de propre uniforme, ayant pris une épée dans la main droite et un bouquet de roses, écarlate comme le sang ou le vin bourguignon, dans la gauche, monsieur Guillaume a à nouveau bougé lentement et fermement dans la direction apprise par coeur vers les endroits tellement plus paisibles et silencieux, le château du père de sa chérie un...
Monsieur Harold commençait à perdre patience. Il est déjà passé assez de temps depuis le moment où Angelina devrait apparaître, mais elle ne venait pas, sans parler du froid. Et c'était très facile d'attraper un rhume- un vent nord froid et humide s'est mis à souffler vers minuit et les nuages se sont massés hautement dans le ciel, en entaillant apparemment à l'eau la Terre du pécheur avec des déchirures longtemps tenues. Sur la terre, en rendant son dernier hommage de chaleur à un air nocturne, un brouillard de nulle part ne s'est pas mis à condenser. Monsieur Harold, qui s'est mis à tapoter son armure avec les gantelets d'acier et taper avec les talons des pieds sur la terre durcie dans un vain espoir de se réchauffer, était presque prêt à abandonner, en jugeant du point d'endroit, l'acte, comme subitement non prédit, inexplicable, en enchantant et en faisant peur au phénomène qui ait apparu.
Directement à sa dislocation, lentement et inévitablement, de manière instable ici et là, coupant un brouillard gris désobéissant avec les pieds et en marmonnant quelque chose avec menace emmitouflé sous son propre nez, une promenade morte bougeait. Il était approché par un mort réanimé - la même incarnation de ces endroits infernaux, où Angelina traîtresse l'a finalement persuadée de venir!
Monsieur Harold n'avait plus aucun doute - les heures, passées dans cette crypte de terre, renforçaient ce sentiment. Une peur de l'ennemi, qui est subitement venue de nulle part; une curiosité, qu'il a portée; la colère sur la fille excentrique d'un comte fou; la crainte également révérencielle devant elle - tout cela s'est maintenant confondu dans le coeur du chevalier Harold dans un mélange indescriptible et explosif, tellement plus fort que celui, que le chevalier Guillaume était capable de la réaliser avec un vin bourgogne rouge. Sans une seconde de pensée et la réalisation de ce qu'il aspire à faire, monsieur Harold a expédié en avant dans la direction de ce frai de tombeaux de minuit, en balançant son épée et en protégeant d'instinct sa tête avec un bouclier, en criant dans la foulée quelque chose de méconnaissable.
Seulement le Dieu des morts sait probablement, ce qu'exactement monsieur Harold criait pendant ces instants. Peut-être, ceux-ci étaient les derniers mots d'un guerrier, qui a subitement pris conscience de l'heure de sa mort et pour la première fois et la dernier fois dans de sa vie a osé se regarder en face sans peur... Ou, peut-être, ceux-ci étaient les mots d'un amant, en se dépêchant de faire face à l'ennemi et protéger sa chérie un... Ou, peut-être, ceux-ci étaient les damnations douloureuses mutuelles d'anciens amis, qui sont allés trop loin dans la haine. Qui sait vraiment ce qu'il criait!
Il est vraiment difficile de le savoir au cours de telles minutes. De toute façon, à cet instant, lorsqu' il est enfin arrivé "oh ainsi mort" qui l'a fracassé de toute force avec une épée dans la poitrine blindée, ses derniers mots ont sonnés comme : “... c'est-à-dire, la bête!”
Oh-m-m-m-m-o-o-o-o-n-n-n-n! Aïe, ça fait mal! Maintenant je vais vous faire, ...! - le "presque mort" s'est mis à crier et, ayant déposé le casque de la main gauche, involontairement là et ayant exposé ses pieds (ressemblaient-ils initialement à ceux-là?), a sauté vers l'avant avant, en balançant violemment son épée à tour de rôle. - Maintenant je vous aurai! Comme ça! Et de cette façon! Ou-a-a-a-i-i-i-s! Prenez ça! W-w-h-h-h-o-o-o-h-h-h! - il a continué à crier, en se retournant et en assénant de nouveaux coups à l'ennemi inconnu.