175. Quellen und Literatur zum Kapitel, «Rechnenhaftigleit». Liver Abaci издан в 1857 г. Buoncompagni; характеристика двойной бухгалтерии Fra Luca у
По Geschichte der Buchfuhrung (кроме уже названной работы)
176. «Dicea messer Benedetto Alberti… ch'egli stava cosi I ene al mercantante sempreater lemani tincte d'inchiostro… Dimonstrava essere offitio del mercatante et d'ogni mestiere, quale abbia a tramare con qiu persone sempre scrivere ogni cosa, ogni contracto, ogni cosa etnrata et uscita fuori di bottega et cosi spesso tutto rivedere che quasi sempre avese la penna in mano…»
177.
178.
179.
180.
181. Источники у
182. Ср. еще —
183. По сообщению севильских Gremios 1701 г.; цитировано у
184.
185. Von
186.
187. Я приведу еще несколько менее известных мест из описаний путешествий XVII в., которые в согласии друг с другом свидетельствуют о полном иссякновении капиталистического духа в Испании того времени. Путешественник в 1669 г.: «Is meprisent tellement le travail, que la plupart des artisans sent etrangers» (Voyages faits en diver temps par M.M… Amsterdam, 1700. С. 80). Другой между 1693 и 1696 г.: «They think it below the dignity of a Spaniard to labour and provide for the future» (Travels by a gentlemen (by Bromley?) L., 1702, p. 35). Третий в 1679 г.: «11s souffrent plus aisement de la vie que de travailler, disont-ils, comme des mercennaires ce qui n'appartient qu'a des EiclaTes» (D'Au;noy,Relat du Voyage d'Espagne. Lyon, 1693, 2, 369, 70, все
188. См., напр., о Мексике (испанцы:
189. «J'ay peur que nous avons les yeux plus grands que le ventre: et plus de curiosite lue nous n'avons de capacite: nous embrassons tout, mais nous n'estreignous que du vent». Montaigne, Essays; Liv. 1. Ch. XXX.
190. «Nos negociants n'ont pas assez de force pour entrer dans des affaires qui ne leur Mnt pas bien connues…» Melanges,
191. См. подробную характеристику у
192. Le negociant patriote, (1770), 13.
193. «Се sont des pares immenses, des jardins delicieux, des eaux vives et jaillissantes dont l'entretien est tres dispendieux et souvent le proprieta re n'y va pas crois mois dans l'annee; c'est l'entret en de ces tables servies атес autant de delicatesses que de profusion, ou de somplaisants parasites trouvent des places…» L.c., p. 27. «Nous avons peut-etre un peu trop suivi la voie qui conduit a l'argent, атес le gout dominant de le prodiquer en festins, fetes, spectacles, bijoux, meubles recherches, habit de prix, equipages somptueux, en un mot, tout ce qui tient a une representation frivole, mais eclatante». C. 228.
194. «Pour peu qu'on ait quelque fortune on n'aspire qu a sortir de cette classe des marchands et des gens de metier, sans dignite, sinon sans influence dans l'Etat. Y rester ce serait avouer qu'on est trop pauvre acheter une charge ou trop ignorant pour la remplir. Le mepris du comptoir et de l'atelier est ches nous un mal hereditaire: c'est un des prejuges de l'ancienne societe qui lui a survecu…»