Et Harry, avec la compétence infaillible de l'Attrapeur, attrapa la baguette magique pendant que Voldemort tombait en arrière, les bras évasés, la fente des pupilles des yeux écarlate roulant vers le haut. Tom Jedusor frappa le plancher avec une finalité mondaine, son corps faible et rétréci, ses mains blanche vident, le visage de serpent vide et méconnaissable. Voldemort était mort, tué par le retour de sa propre malédiction, Harry tenait deux baguettes magiques dans sa main, regardant fixement vers le bas le corps de son ennemi.
Un temblement après le silence, le choc du moment suspendu : alors le tumulte s'est arrivé autour d'Harry comme les cris perçants et les acclamations et les hurlements des observateurs dans l'air. Le nouveau soleil brillait par les fenêtres pendant que la foule arrivait vers lui, et les premiers à l'atteindre étaient Ron et Hermione, c'était leurs bras qui étaient enroulés autour de lui, leurs cris incompréhensibles qu'il entendait. Ginny, Neville et Luna étaient là, et puis tout les Weasleys et Hagrid, Kingsley, McGonagall et Flitwick. Harry ne pouvait pas entendre un mot que n'importe qui criait, ne savait pas à qui appartenait lesmains qui le saisissaient, le tiraient, essayant d'étreindre une partie de lui, une centaine d'eux elles s'enfonçant pour toucher le garçon qui a suvécu, la raison pour laquelle tout était enfin terminé ---
Le soleil s'était levé de façon constante au-dessus de Poudlard, et le Grand Hall flamboyait de vie et de lumière. Harry était une partie indispensable des effusions mélangées de jubilation et de deuil, de peine et de célébration. Ils le voulaient là avec eux, leur chef et symbole, leur sauveur et leur guide, et cela même s'il n'avait pas dormi, qu'il implorait la compagnie de quelques uns seulement, semblait n'intérresser personne. Il devait parler en priver, étreignant leurs mains, témoin de leurs larmes, reçoivant leurs mercis, entendant les nouvelles arrivant maintenant des quatre coins du pays comme le matin se dessinait; que les sorciers frappé d'Impérium étaientt redevenu eux-mêmes, que les mangemort se sauvaient ou bien étaient capturés, que les innocents d'Azkaban étaient libérés en ce moment, et que Kingsley Shacklebolt avait été appelé provisoirement ministre de magie.
Ils déplacèrent le corps de Voldemort, étendu dans une chambre hors du Hall, loin des corps de Fred, Tonks, Lupin, Colin Creevey, et de cinquante autres qui étaient morts en le combattant. McGonagall avait remplacé les tables de la Chambre, personne ne se reposait désormais dans cette Chambre : Tous étaient mélangés, les professeurs et les pupilles, les fantômes et les parents, les centaures et les elfes de maison, et Firenze qui récupèrait étendu dans un coin, Grawp regardait à l'intérieur par une fenêtre cassée, les gens jetaient de la nourriture dans sa bouche riante. Après un moment, épuisé et vidé, Harry alla s'asseoir sur un banc près de Luna.
« Je voudrais de la paix et de latranquillité, si c'était possible, » elle dit.
« J'en aimerais aussi, » répondit-il.
« Je vais les distraire, » dit-elle. « Utilise ta cape. »
Et avant qu'il ne puisse dire un mot, elle avait pleuré, « Oooh, regardez, un Blibbering Humdinger ! » montrant une fenêtre. Chacun qui l'avait entendu regarda autour, et Harry avait fait glisser sa cape sur lui.
Maintenant il pouvait se déplacer par le Hall sans interférence. Il repéra Ginny deux tables plus loin ; elle appuyait sa tête sur l'épaule de sa mère : Il pourrait lui parler plus tard, des heures et des jours et peut-être des années pour lui parler. Il vit Neville, l'épée de Gryffindor se trouvant près de son plat pendant qu'il mangeait, entourée par un noeud d'ardants admirateurs. Il marcha le long du bas-côté entre les tables et il repéra les trois Malfoys, blotti ensemble comme incertain d'être sensé être là, mais personne ne leur prêtait attention.
Harry Potter et les Reliques de la Mort
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Harry Potter et les Reliques de la Mort
Il regarda partout, il vit des familles réunies, et en conclusion, il vit les deux dont il avait imploré la compagnie.
« C'est moi» murmura t'il, se tapissant entre eux. « Vous venez avec moi ? »
Ils se levèrent immédiatement, et ensemble lui, Ron et Hermione laissèrent le grand hall. Des grands morceaux de l'escalier de marbre étaient absents, une partie de la balustrade était partie, des décombres et des taches de sang se trouvaient sur tous les étages qu'ils montaient
Par les couloirs, quelque part au loin ils pouvaient entendre le bourdonnement irritant de Peeves chantant une chanson de victoire de sa propre composition : Nous l'avons faite, nous les avons frappés, celui du petit Potter, Et Voldy est allé moisri, nous laissant maintenant tellement nous amuser !
« Il donne vraiment un sentiment de tragédie à la chose, n'est-ce pas ? » dit-Ron, poussant une porte pour laisser entrer Harry et Hermione.