Je m'imagine ton enfanceAvec tes grands yeux étonnés.Oh comme j'envie ceux que la chanceA fait grandir à tes côtés.J'aurais tant voulu te connaîtreDepuis des années, des années.Tu serais devenu mon maître,Moi, ton esclave passionnée.J'aurais aimé vivre dans l'ombre,Au moindre souffle intervenirPour éclairer tes heures sombres,Faire partie de tes souvenirs…Mais parle-moi de ta jeunesseQue je veux suivre pas à pas,Dans tes plaisirs, dans tes tristesses,Dans tes soucis et dans tes joies.Si tu savais comme je veux boireLes mots de ta bouche adorée.Tu me raconterais des histoiresSans jamais vouloir t'arrêter.Tu m'as dit que ta vie commenceDepuis que tu m'as rencontréeEt que jamais tu ne repensesAux événements de ton passé…Répète encore pour moi ces chosesQui pénètrent au fond de mon cœur.Ah, mon amour, redis ces choses,Ces choses qui ressemblent au bonheur.Est-ce vrai que là, dans la têteRien d'autre ne te fait envieEt que jamais tu ne regrettesD'être mon homme pour la vie?
Je me souviens d'une chanson
Paroles: Félix Marten. Musique: J.-P. Moulin 1958
Je me souviens d'une chanson,D'une chanson quand on s'aimait.Elle disait, cette chanson,Des mots d'amour.Je me souviens d'une chanson,D'une pauvre chanson d'amourQui m'a fait pleurer, pleurerQuand on s'aimait…Une guitare a réveilléUne chanson presqu' endormie.Tu reviens, tu me fais rêver,Chanson d'amour en Italie.Douce guitare, tendre mémoire,Raconte-moi la vieille histoire,Belle comme l'amourAu premier jour,Comme un cœurAu premier bonheur.Je me souviens d'une chanson,D'une chanson quand on s'aimait.Elle disait, cette chanson,Des mots d'amour.Je me souviens d'une chanson,D'une pauvre chanson d'amourQui m'a fait pleurer, pleurerQuand on s'aimait…
Je n'en connais pas la fin
Paroles: Raymond Asso. Musique: Marguerite Monnot 1939
Depuis quelque temps l'on fredonne,Dans mon quartier, une chanson,La musique en est monotoneEt les paroles sans façon.Ce n'est qu'une chanson dus ruesDont on ne connaît pas l'auteur.Depuis que je l'ai entendue,Elle chante et danse dans mon cœur
{Refrain:
}Ha ha ha ha,Ô mon amour,Ha ha ha ha,A toi toujours,Ha ha ha ha,Dans tes grands yeux,Ha ha ha ha,Rien que nous deuxAvec des mots naïfs et tendres,Elle raconte un grand amourMais il m'a bien semblé comprendreQue la femme souffrait un jour.Si l'amant fut méchant pour elle,Je veux en ignorer la finEt, pour que ma chanson soit belle,Je me contente du refrain