Читаем Ökonomisch-philosophischen Manuskripte [MEGA-2] полностью

«louer son travail» «prêter son travail à l’intérêt» «travailler à la place d’autrui».

«louer la matière du travail» «prêter la matière du travail à l’intérêt» «faire travailler autrui à sa place», ibid. |

|XIII| «cette constitution économique condamne des hommes à des métiers tellement abjects, à une dégradation tellement désolante et amère, que la sauvagerie apparaît, en comparaison, comme une royale condition.» l.c. p. 417, 18.

«la prostitution de la chair non-propriétaire sous toutes les formes.» p. 421 sq. Lumpensammler.

Ch. Loudon in der Schrift solution du problème de la population etc. Paris, 1842, giebt die Zahl der Prostituirten in England auf 60 – 70.000 an; die Zahl d[er] femmes d’une vertu douteuse sei ebenso groß. p. 228.

«La moyenne vie de ces infortunées créatures sur le pavé, après qu’elles sont entrées dans la carrière du vice, est d’environ six ou sept ans. De manière que pour maintenir le nombre de 60-à-70.000 prostituées, il doit y avoir, dans les 3 royaumes, au moins 8 à 9.000 femmes qui se vouent à cet infâme métier chaque année, ou environ 24 nouvelles victimes par jour, ce qui est la moyenne d’une par heure; et conséquemment, si la même proportion a lieu sur toute la surface du globe il doit y avoir constamment un million et demi de ces malheureuses.» ibid. p. 229.

«la population des misérables croît avec leur misère et c’est à la limite extrême du dénûment que les êtres humains se pressent en plus grand nombre pour se disputer le droit de souffrir. …En 1821 la population de l’Irlande était de 6.801.827. En 1831, elle s’était élevée à 7.764.010; c’est 14p 0/0 d’augmentation en dix ans. Dans le Leinster, province où il y a le plus d’aisance, la population n’a augmenté que de 8 p/c, tandis que, dans le Connaught, province la plus misérable, l’augmentation s’est élevée à 21 p/c. (Extraits des Enquêtes publiées en Angleterre sur l’Irlande. Vienne, 1840.)» Buret de la misère etc. t. I, p. 36, 37. Die Nationalökonomie betrachtet die Arbeit abstrakt als eine Sache; le travail est une marchandise: ist der Preiß hoch, so ist die Waare sehr gefordert; ist er niedrig, so ist sie sehr angeboten; comme marchandise le travail doit de plus en plus baisser de prix: theils die Concurrenz zwischen Capitalist und Arbeiter, theils die Concurrenz unter den Arbeitern zwingt hierzu; …«La population ouvrière, marchande de travail, est forcément réduite à la plus faible part du produit… La théorie du travail marchandise est-elle autre chose qu’une théorie de servitude déguisée ?» l.c. p. 43. «Pourquoi donc n’avoir vu dans le travail qu’une valeur d’échange?» ib. p. 44. Die grossen Ateliers kaufen vorzugsweise die Arbeit von Frauen und Kindern, weil diese weniger kostet als die der Männer. l.c. «le travailleur n’est point vis à vis de celui qui l’emploie dans la position d’un libre vendeur. …le capitaliste est toujours libre d’employer le travail, et l’ouvrier est toujours forcé de le vendre. La valeur du travail est complètement détruite, s’il n’est pas vendu à chaque instant. Le travail n’est susceptible, ni d’accumulation, ni même d’épargne, à la différence des véritables [marchandises.] ||XIV| Le travail c’est la vie, et si la vie ne s’échange pas chaque jour contre des aliments, elle souffre et périt bientôt. Pour que la vie de l’homme soit une marchandise, il faut donc admettre l’esclavage.» p.49, 50 l.c.

Wenn die Arbeit also eine Waare ist, so ist sie eine Waare von den unglückseeligsten Eigenschaften. Aber selbst nach Nationalökonomischen Grundsätzen ist sie es nicht, weil nicht le libre résultat d’un libre marché. Das jetzige ökonomische Regime abaisse à la fois et le prix et la rémunération du travail; il perfectionne l’ouvrier et dégrade l’homme, p. 52, 53 l.c. «L’industrie est devenue une guerre et le commerce un jeu.» l.c. p. 62.

Les machines à travailler le coton (in England) repräsentiren allein 84.000.000 Handwerker.

Die Industrie befand sich bis jezt im Zustand des Eroberungskriegs: «elle a prodigué la vie des hommes qui composaient son armée avec autant d’indifférence que les grands conquérants. Son but était la possession de la richesse et non le bonheur des hommes.» Buret. l.c. p. 20. «Ces intérêts (sc. économiques) librement abandonnés à eux-mêmes… doivent nécessairement entrer en conflit; ils n’ont d’autre arbitre que la guerre, et les décisions de la guerre donnent aux uns la défaite et la mort, pour donner aux autres la victoire. …c’est dans le conflit des forces opposées que la science cherche l’ordre et l’équilibre: la guerre perpétuelle est selon elle le seul moyen d’obtenir la paix; cette guerre s’appelle la concurrence.» l.c. p. 23.

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Борис Гурьевич Капустин

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