Переводчик наш занемог, и от того Вильменова речь опоздала, я только вчера вечером получил ее. Начало я исправлял еще прежде и [оно] [?] от того первые листы переписаны, но [в] за следующие извините, что перемараны жестоко; не смотря на это Вы просмотрите еще раз. — За все труды я Вас как издателя прижимаю и требую бано
На последнее письмо Ваше имею честь ответствовать Вам, милостивый государь, что по встреченному затруднению С. Петербургским Цензурным Комитетом в пропуске статьи: Письмо из Парижа, обстоятельство сие будет представлено Комитетом на разрешение Главного Управления Цензуры.
[На обороте помета рукою Пушкина: ] С Ценз.[урой] спорить-де можно, а с В.[ашей] М.[илостью] нет.
Князь М. А. Корсаков писал мне, что Письма из Парижа будут рассмотрены в высшем комитете. Препровождаю [1331]
их к Вам; одно замечание: Письма из Парижа Тургенева печатаются в М.[осковском] Наблюдателе, не как статьи политические, а литературные.Monsieur, l’ai reçu avec un véritable plaisir votre charmante traduction de l’ode à Luculle et la lettre si flatteuse qui l’accompagne. Vos vers sont aussi jolis qu’ils sont malins, ce qui est beaucoup dire. S’il est vrai, comme vous le dites dans votre lettre, qu’on ait voulu légalement constater que vous aviez perdu l’esprit, il faut convenir, que depuis vous l’avez diablement retrouvé!
La bienveillance que vous paraissez me porter et dont je suis fier, m’autorise à vous parler en pleine confiance. Dans votre lettre à M-r le ministre de l’Instruction publique, vous semblez disposé à imprimer votre traduction en Belgique en y joignant quelques notes nécessaires, dites-vous, pour l’intelligence du texte: j’ose vous supplier, Monsieur, de n’en rien faire. Je suis fâché d’avoir imprimé une pièce que j’ai écrite dans un moment de mauvaise humeur. Sa publication a encouru le déplaisir de quelqu’un dont l’opinion m’est chère et que je ne puis braver sans ingratitude et sans folie. Soyez assez bon pour sacrifier le plaisir de la publicité à l’idée d’obliger un confrère. Ne faites pas revivre avec l’aide de votre talent une production qui sans cela tombera dans l’oubli qu’elle mérite. J’ose espérer que vous ne me refuserez pas la grâce que je vous demande, et vous prie de vouloir bien recevoir l’assurance de ma parfaite considération.
Fd. BELLIZARD et Cie.
Libraires — Editeurs — Commissionnaires, A St.-Pétersbourg, maison de l’église hollandaise, près du Pont de Police, A Paris, rue de Verneuil, № 1 bis
Monsieur,
Les prières que nous vous avons adressées plusieurs fois restées toujours sans résultat, nous forcent à réitérer une démarche qui ne peut vous être plus importune qu’elle ne nous est désagréable.
Vous trouverez sous ce pli le relevé général de notre compte, duquel il résulte que Vous nous devez encore 1100 r. sur nos fournitures de 1834! et, à très peu de choses près, — pareille somme pour nos fournitures de 1835. — C’est en Novembre de l’année d-re que nous avons reçu 466. 38 à compte sur l’année 1834. — Si ce mode de paiement devait être suivi dans l’avenir, nos comptes ne se régleraient plus que trois ans après les fournitures, or, dans ce cas, la [perte] seule accumulation des intérêts nous constituerait en perte.
Nous ne négligeons rien pour satisfaire les personnes qui veulent bien s’adresser à nous, mais aussi toutes reconnaissent qu’il est juste d’acquitter dans le premier trimestre de l’année suivante le compte de celle qui vient de s’écouler.
Débiteur envers nous à ce jour d’une somme de R. 2172. 9 °C. vous déterminerez, Monsieur s’il est convenable que vous acquittiez maintenant le compte que nous vous soumettons.
Nous avons l’honneur d’être,