Читаем Том 10. Повести и рассказы 1881-1883 полностью

34. Не доносит до хозяина убитую дичь или поноску и роняет ее в нескольких шагах от него.

35. Боится выстрела, и либо отбегает в сторону, либо крадется вслед за охотником шагах от него в пятидесяти.

36. Убегает с поля домой.

37. Дерется с другими собаками, отбивает у них дичь.

38. Имеет отвращение к известного рода дичи (большей частью болотной) и не подает ее.

39. Слишком нежна на рану, не переносит укола лапы или ушиба.

40. Не остается позади, когда ей скомандовали: «Назад!»

41. Когда на сворке *, вместо того чтобы идти по пятам охотника, лезет вперед, вытягивает сворку и тащит охотника за собою.

42. Перегрызает веревку, когда привязана.

43. Не остается на месте, когда охотник скомандовал ей: «Куш!» *— удаляется от него (например, для того, чтобы подкрасться под уток).

44. Капризничает и не верит охотнику, когда тот, например, заставляет ее искать переместившуюся птицу.

45. Капризничает в еде и тем лишает себя сил на охоту.

46. В телеге или в экипаже не лежит смирно во время езды, а всё лезет вверх.

47. Когда радуется, прыгает на охотника и раздирает ему платье когтями.

48. Страстно любит отыскивать ежей и лает на них.

49. Делает изумительно твердые и красивые стойки над жаворонками.

50. Не понимает, что во время облавы должно держаться смирно и не шуметь: чешется, хлопает ушами или вдруг примется чихать, как бешеная.

<p>Alexandre III <a l:href="#comm004008"><sup>*</sup></a></p>

Non seulement en Russie, mais dans l’Europe enti`ere on attend anxieusement les premiers actes du nouveau souverain, pour t^acher de pr'ejuger quelles seront par la suite son attitude, ses tendances, toute sa mani`ere de gouverner.

On esp`ere beaucoup. On craint beaucoup. On commente tout ce qu’on sait de sa vie et on en tire des conclusions; puis on se dit: «L’horrible mort de son p`ere ne changera-t-elle pas absolument ses opinions acquises et connues d`es maintenant?»

Nous allons essayer de tracer aussi judicieusement que possible le caract`ere vrai de ce prince, de p'en'etrer en lui, de voir son caeur, qui n’est point double ou rus'e; et, de cette connaissance de l’homme, nous t^acherons de d'eduire la conduite qu’il tiendra sur le tr^one, `a moins que des 'ev'enements impr'evus ne le forcent `a suivre une route contraire `a sa nature.

I

Alexandre III poss`ede plusieurs de ces qualit'es puissantes qui font, sinon les grands, du moins les bons et les vrais souverains. Chaque homme nait avec des aptitudes particuli`eres pour une profession quelconque; ce prince semble n'e avec des aptitudes r'eelles pour le pouvoir.

Il est dans la force de l’^age, sain de corps et d’esprit, de grande allure, d’aspect royal. Son caract`ere est calme, r'efl'echi, 'en'ergique, 'equilibr'e. La note dominante en lui, la qualit'e qui enveloppe pour ainsi dire toutes les autres est l’honn^etet'e, une honn^etet'e scrupuleuse, absolue, sans pactisations et sans m'elange. Rien qu’`a le voir, on le sent loyal des pieds `a la t^ete, sans plis dans la pens'ee, d’une sinc'erit'e rigide; mais cette excessive droiture ne va pas sans une nuance d’ent^etement qui en est comme la cons'equence.

On conna^it son pass'e.

Appel'e `a la succession de l’empire par la mort de son fr`ere, n’ayant recu jusqu-l`a qu’une 'education purement militaire, il s’est mis au travail avec une volont'e et une pers'ev'erance remarquables, s’efforcant de devenir digne du grand tr^one o`u il devait monter; il est `a constater, d’ailleurs, que le nouveau tzar a plut^ot une tendance `a douter de lui, de son savoir et de son esprit, une sorte de modestie r'eelle en face de la situation souveraine o`u le place la destin'ee — modestie qui n’exelut pourtant ni l’esprit de suite ni l’'energie dans la volont'e.

Seul de sa race, peut-^etre, il est chaste, et il l’a toujours 'et'e. Il a souvent manifest'e dans sa propre famille sa profonde r'epugnance pour l’inconduite.

Des gens 'el'ev'es avec lui affirment que, m^eme enfant, il n’a jamais menti. Et il pousse si loin ses scrupules de franchise qu’au moment d’'epouser, pour des raisons politiques, la fianc'ee de son fr`ere mort, il ne lui a point cach'e qu’il aimait une autre femme, la princesse M…, qui devint plus tard l’'epouse du tr`es riche et tr`es c'el`ebre M. D… Sa confidence, du reste, eut un 'echo, car sa fianc'ee ne lui dissimula point qu’elle avait aim'e passionn'ement son fr`ere. Et cependant ils ont form'e un m'enage mod`ele, un m'enage surprenant de concorde et d’affection pers'ev'erante.

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