Читаем Мои воспоминания. Под властью трех царей полностью

Brillants rayons du soleil d’ItalieEn vain vos feux 'etalent leurs splendeurs.H'elas pour moi que de m'elancolieDans tout l’'eclat de votre riche ardeur.Car c’est en vain que de la rose fr^eleVous ranimez la timide couleur,En vain vers vous s’'elance l’hirondelleFuyant du nord l’hiver plein de rigueur.H'elas sur moi vous n’avez pas d’empireEt je fl'echis sous un mal accablant.Et dans ces eaux o`u le soleil se mireJe vois la tombe ouverte m’appelantEt de la mer la musique fun`ebreSemble redire un grave et triste chantEt m’attirer vers le lieu de t'en`ebreDans chaque flot `a mes pieds se brisant.Soleil brillant, j’aime l’ardeur cruelleDe tes rayons pour mon corps sans chaleurMais qui frappant une intime 'etincelleD’un saint transport viennent ravir mon coeurEt plein d’amour il subit tout le charmeDe ce beau ciel, de cette mer d’azurO`u je r^evais, laissant fuir une larmeRivant mes yeux dans l’horizon si pur!O`u je trouvais la contrepart sublimeDes vains d'esirs du sentiment humain,O`u mon esprit se noyait dans l’ab^imeDe la grandeur du Сr'eateur divin!O`u tout mon coeur n’'etait qu’une pri`ereQu’accompagnait le murmure des flotsDans cet accord, saisi d’un saint myst`ereSemblant chanter un hymne de repos.Garde toujours, o fr'emissante plage,Le souvenir de ces moments heureuxEt si jamais sur ce calme rivageUn autre coeur venait r^ever des Cieux,Que le reflux de la mer d’ItalieEn r'ep'etant son monotone chantRedise encore `a la m'elancolieСе qu’il a dit `a mon coeur bien souvent:«Laisse la vie et les biens de la terreEt dans mes flots qui refl`etent le CielEntends la voix qui te murmure: “Esp`ere,De l`a la mer est un port 'eternel”»367.

В другой раз, помню, мне было очень тяжело. Я страдала моими лицевыми невралгиями, и в душе моей было полное смятение. Я старалась отделаться от этого чувства и написала карандашом следующие, недавно случайно найденные мной почти стертыми, строки:

Перейти на страницу:

Похожие книги