« Notre homme est passé, petit frère. Tu vois ces taches claires dans le fond de la pièce souterraine ? Ce sont des pierres éparpillées. Vu la profondeur de cette cave, il les a sans doute empilées pour pouvoir atteindre la sortie, et le tas a fini par s’écrouler.
— C’est peut-être le mur qui s’est éboulé, objecta Ankrel.
— Les murs montés par les descendants de
— Qu’aurions-nous fait de lui si nous avions réussi à le capturer en bas de la colline de l’Ellab ?
— Nous l’aurions emmené par le passage de grand-Maran. Il a gagné du temps sur nous, mais nous sommes au bout de la piste. Au bout de la piste, petit frère. »
Et Ankrel ressentait l’exaltation soudaine de Jozeo, ce frémissement du corps et de l’âme qui caractérisait les vrais chasseurs prêts à fondre sur leur proie.
CHAPITRE XXVIII
GORGE