Vous ne saurez croire, ma bien chère Прасковья Александровна, combien votre lettre m’a fait plaisir. Je n’avais pas de vos nouvelles depuis plus de quatre mois; et ce n’est qu’avant hier que M-r Lvof m’en a données; le même jour j’ai reçu votre lettre. J’avais espéré vous voir en automne, mais j’en ai été empêché en partie par mes affaires, en partie par Павлищев, qui m’a mis de mauvaise humeur en sorte que je n’ai pas voulu avoir l’air de venir à Михайловское pour arranger le partage.
C’est avec bien du regret que j’ai été obligé de renoncer à être votre voisin, et j’espère encore ne pas perdre cette place que je préfère à bien d’autre. Вот в чем дело: J’avais proposé d’abord de prendre le bien à moi tout seul, en m’engageant de payer mon frère et ma soeur les parts qui leur reviennent à raison de 500 r. par âme. Павлищев оценил Михайловское в 800 р. душу — я с ним и не спорю, но в таком случае принужден был отказаться и предоставил имение продать. Перед своим отъездом писал он ко мне, что он имение уступает мне за 500 р. душу,
754. В. Ф. ОДОЕВСКОМУ
Около (не позднее) 29 декабря 1836 г.
В Петербурге.
Так же зло, как и дельно. Думаю, что цензура, однако ж, не всё уничтожит — на всякий случай спрос не беда. Не увидимся ли в Академии наук, где заседает князь Дундук?
755. А. А. ПЛЮШАРУ
29 декабря 1836 г.
В Петербурге.
Monsieur,
Je suis parfaitement d’accord sur toutes les conditions que vous avez la complaisance de me proposer, concernant la publication d’un volume de mes poésies (dans votre lettre du 23 décembre 1836). Il est donc convenu que vous le ferez imprimer à 2500 exemplaires sur le papier que vous choisirez, que vous serez seul chargé de la vente de l’édition, à raison de 15 % de remise, et que le produit des premiers volumes vendus servira à rembourser tous les frais de l’édition, ainsi que les 1500 roubles assignats que vous avez bien voulu m’avancer.
Veuillez recevoir, Monsieur, l’assurance de ma parfaite considération.
A. Pouchkine.
29 décembre 1836.
St. Pétersbourg. {169}
756. В КНИЖНУЮ ЛАВКУ А. Ф. СМИРДИНА
29 декабря 1836 г.
В Петербурге.
Двадцать пять экземпляров 4-го № «Современника» выдать по сей записке.
А. Пушкин.
29 декабря 1836 г.
757. НЕИЗВЕСТНОМУ
1827–1836 гг.
В эту минуту не могу еще ничего сделать; через неделю надеюсь Вас увидеть и с Вами переговорить. Если сам не буду, приезжайте ко мне.
А. П.
Пожалуйста, не принимайте этого письма за отказ.
758. В. Ф. ОДОЕВСКОМУ
1835–1836 гг.
В Петербурге.
Сделайте мне божескую милость, Ваше сиятельство: пришлите мне на несколько часов «Наблюдателя».
А. П.
759. В. Ф. ОДОЕВСКОМУ
1835–1836 гг.
В Петербурге.
Я дома, больной, в насморке. Готов принять в моей каморке любезного гостя — но сам из каморки не выйду.
А. П.
760. А. П. КЕРН
1835–1836 гг. (?)
В Петербурге.
Ma plume est si mauvaise que Madame Hitrof ne peut s’en servir et que c’est moi qui ai l’avantage d’être son secrétaire. {170}
761. А. П. КЕРН
1835–1836 гг. (?)
В Петербурге.
Voici la réponse de Chéréméteff. Je désire qu’elle vous soit agréable. M-me Hitrof a fait ce qu’elle a pu. Adieu — belle dame — soyez tranquille et contente, et croyez à mon dévouement. {171}
762. А. П. КЕРН
1835–1836 гг. (?)
В Петербурге.
Quand vous n’avez rien pu obtenir, vous qui êtes une jolie femme, qu’y pourrai-je faire moi, qui ne suis pas même joli garçon… Tout ce que je puis conseiller, c’est de revenir à la charge… {172}
763. П. А. ВЯЗЕМСКОМУ
Вторая половина 1835 г. — 1836 г.
В Петербурге.