En attendant que nous ayons l’occasion de nous rencontrer, je vous prie de croire, Mes Chers Collègues, à mes sentiments les plus cordiaux.
[signature]
Jacques Godechot
3
Toulouse, le 7 février 1967 Mon cher collègue,
Je vous remercie beaucoup d’avoir eu l’amabilité de m’envoyer votre ouvrage sur «La Grande Révolution française»[887]
. Il me para’t extrêmement intéressant et original. Je vais le lire avec le plus grand plaisir [888].J’espnre avoir bientôt l’occasion de vous rencontrer. Je souhaite surtout qu’à votre prochain voyage en France, vous puissiez venir jusqu’à Toulouse, et en attendant, je vous prie de croire à mes sentiments les meilleurs.
[signature] Jacques Godechot
4
Toulouse, le 14 avril 1967 Mon cher collngue,
Je vous remercie beaucoup de m’avoir envoy é l’annuaire des études historique de 1965[889]
. J’ai lu avec plaisir le résumé français des études relatives à la Révolution. L’une de celles-ci a été publiée dans lesEn attendant le plaisir de vous revoir, croyez, mon cher collngue, à mes sentiments les meilleurs.
[signature] Jacques Godechot
5
Toulouse, le 20 octobre 1967
Mon cher Collègue,
Je vous envoie aujourd’hui-même mes trois derniers livres: L’Europe et l’Amérique à l’époque napoléonienne, La Prise de la Bastille et un petit essai sur Talleyrand publié en Italie[891]
.Je joins à mon envoi un certain nombre de tirages à part qui me restent[892]
. Ce sont des articles parus à des époques différentes, certains il y a déjà bien longtemps. Peut-être trouverez-vous parmi ces articles une étude que vous jugerez digne de publier dans l’Annuaire d’Histoire de votre Institut[893].Je regrette que cette fois encore vous n’ayez pu venir jusqu’à Toulouse, mais j’espnre qu’à votre prochain voyage il vous sera possible de pousser jusqu’à notre ville. Moi-même je serais trns heureux de me rendre en Union Soviétique ainsi que vous me l’avez proposé.
En attendant le plaisir de vous y rencontrer, je vous prie de croire, Mon cher Collègue et Ami, à mes sentiments les plus cordialement dévoués.
[signature] Jacques Godechot
6
Toulouse, le 22 avril 1969
Messieurs les professeurs Manfred, Daline, Jeloubovskaia[894]
Mes chers Amis,
Je vous remercie beaucoup de m’avoir envoyé avec une si aimable dédicace l’Annuaire d’études françaises pour 1967[895]
.J’ai lu avec un vif intérêt les résumés français des communications qui ont été présentées en russe. Je vois que vous réalisez une nuvre considérable, dont je vous félicite.
Je vous prie de croire, mes chers Amis, à l’assurance de mes sentiments les plus cordiaux.
[signature]
Jacques Godechot
7
Toulouse, le 23 décembre 1969 Mon cher Collègue,
À mon retour de Russie j’ai été extrêmement occupé par de très nombreuses obligations. C’est seulement maintenant, à la fin de l’année, que je puis songer aux promesses que je vous ai faites. Je vous envoie donc par le même courrier, mon livre sur
Je n’ai pas encore eu le temps de rédiger le rapport que j’ai présenté à Erivan [sic][897]
. Je pense mettre à profit les vacances pour le faire, et vous l’adresser dans une dizaine de jours.Croyez, mon cher Collègue, à l’assurance de mes sentiments les plus cordiaux et à mes vnux les meilleurs pour la nouvelle année.
[signature]
Jacques Godechot
8
Toulouse, le 4 février 1970
Mon cher Collègue et Ami,
Je vous envoie, ci-joint, avec un retard dont je vous prie de m’excuser, le texte de la communication que j’ai présenté au Colloque franco-soviétique d’Erivan [sic].
Je vous serais très obligé de bien vouloir me faire savoir dans quelle revue vous avez l’intention de le publier. Est-ce dans
Croyez, mon cher Collègue et Ami, à mes sentiments les plus cordiaux.