Moi, effar'e, honteux, j’avais envie de me sauver et je ne savais plus que dire, que faire, que tenter.
Et soudain, la voix de Mme Chantal r'esonna dans l’escalier :
– Est-ce bient^ot fini, votre fumerie ?
J’ouvris la porte et je criai :
– Oui, madame, nous descendons.
Puis, je me pr'ecipitai vers son mari, et, le saisissant par les coudes .
– Monsieur Chantal, mon ami Chantal, 'ecoutez-moi
(господин Шанталь, друг мой Шанталь, послушайте меня); votre femme vous appelle (ваша жена зовет вас), remettez-vous, remettez-vous vite, il faut descendre (успокойтесь, успокойтесь быстрее, нужно идти: «спускаться»;– Oui… oui… Je viens… pauvre fille
(да… да… я иду… бедная девушка)!.. Je viens… dites-lui que j’arrive (я иду… скажите ей, что я иду).Et il commenca `a s’essuyer consciencieusement la figure avec le linge
(и он принялся усердно вытирать лицо тряпкой;– Monsieur Chantal, mon ami Chantal, 'ecoutez-moi; votre femme vous appelle, remettez-vous, remettez-vous vite, il faut descendre; remettez-vous. il b'egaya :
– Oui… oui… Je viens… pauvre fille !.. Je viens… dites-lui que j’arrive.
Et il commenca `a s’essuyer consciencieusement la figure avec le linge qui, depuis deux ou trois ans, essuyait toutes les marques de l’ardoise, puis il apparut, moiti'e blanc et moiti'e rouge, le front, le nez, les joues et le menton barbouill'es de craie, et les yeux gonfl'es, encore pleins de larmes.
Je le pris par les mains et l’entra^inai dans sa chambre en murmurant
(я взял его за руки и отвел в его спальню, пробормотав;– Je vous demande pardon, je vous demande bien pardon, monsieur Chantal
(я прошу у вас прощения, прошу у вас прощения, господин Шанталь), de vous avoir fait de la peine… mais (что причинил вам боль… но;