«Dans la vie de ma^itre Cornille il y avait quelque chose qui n’'etait pas clair
(в жизни деда Корниля было что-то =«Dans la vie de ma^itre Cornille il y avait quelque chose qui n’'etait pas clair. Depuis longtemps personne, au village, ne lui portait plus de bl'e, et pourtant les ailes de son moulin allaient toujours leur train comme devant…
Le soir, on rencontrait par les chemins le vieux meunier
(по вечерам на дороге встречался старый мельник) poussant devant lui son ^ane charg'e de gros sacs de farine (подгонявший перед собой своего осла, навьюченного большими мешками с мукой;«– Bonnes v^epres, ma^itre Cornille
(добрый вечер, дед Корниль;«– Toujours, mes enfants, r'epondait le vieux d’un air gaillard
(все еще /работает/, дети мои, отвечал старик с веселым видом). Dieu merci, ce n’est pas l’ouvrage qui nous manque (слава Богу, работы нам хватит: «это не работа, которой нам не хватает»;«– Bonnes v^epres, ma^itre Cornille! lui criaient les paysans; ca va donc toujours, la meunerie?
«– Toujours, mes enfants, r'epondait le vieux d’un air gaillard. Dieu merci, ce n’est pas l’ouvrage qui nous manque.»
«Alors, si on lui demandait d’o`u diable pouvait venir tant d’ouvrage
(и если его спрашивали, откуда, черт возьми, могло взяться столько работы), il se mettait un doigt sur les l`evres et r'epondait gravement (он прикладывал палец к губам и важно отвечал): «Motus! je travaille pour l’exportation (тсс! я работаю на вывоз;«Quant `a mettre le nez dans son moulin, il n’y fallait pas songer
(что касается того, чтобы сунуть нос на его мельницу, не стоило и мечтать). La petite Vivette elle-m^eme n’y entrait pas (малышка Виветта и та не заходила туда)…