– Pourquoi ca? demanda l’ouvrier.
L’enfant r'epondit avec toute sa na"ivet'e :
– Parce que tu n’es pas le mari de maman.
Personne ne rit. Philippe resta debout, appuyant son front sur le dos de ses grosses mains que supportait le manche de son marteau dress'e sur l’enclume. Il r^evait.
Ses quatre compagnons le regardaient
(все четверо его товарищей смотрели на него;– C’est tout de m^eme une bonne et brave fille que la Blanchotte
(все-таки Бланшотта – добрая и порядочная девушка;– Ca, c’est vrai, dirent les trois autres
(это правда, – сказали трое других).Ses quatre compagnons le regardaient et, tout petit entre ces g'eants, Simon, anxieux, attendait. Tout `a coup, un des forgerons, r'epondant `a la pens'ee de tous, dit `a Philippe:
– C’est tout de m^eme une bonne et brave fille que la Blanchotte, et vaillante et rang'ee malgr'e son malheur, et qui serait une digne femme pour un honn^ete homme.
– Ca, c’est vrai, dirent les trois autres.
L’ouvrier continua
(рабочий продолжил):– Est-ce sa faute, `a cette fille, si elle a failli
(виновата ли эта девушка: «вина ли этой девушки», что не устояла;– Ca, c’est vrai, r'epondirent en choeur les trois hommes
(да, это правда, – хором ответили трое мужчин).L’ouvrier continua :
– Est-ce sa faute, `a cette fille, si elle a failli? On lui avait promis mariage et j’en connais plus d’une qu’on respecte bien aujourd’hui et qui en ont fait tout autant.
– Ca, c’est vrai, r'epondirent en choeur les trois hommes.